Le nombre de parcs éoliens offshore en mer du Nord augmente de façon exponentielle. Leur construction répond à l’urgence de transition vers la production d’énergie verte et la neutralité carbone. L’installation de ces structures artificielles a un impact notable sur l’écosystème marin. Certains impacts positifs incluent la fourniture d’un nouveau foyer pour divers animaux et l’offre d’un abri, de nourriture et d’aires de reproduction. Cependant, des taches de sédiments noirs ont été observées dans les sédiments échantillonnés à proximité des fondations des turbines, suggérant un apport élevé de matière organique dans les sédiments, altérant les processus biogéochimiques naturels.
Dans le projet OUTFLOW, la doctorante Esther Cepeda Gamella (Institut des Sciences Naturelles – MARECO et Université de Gand) étudie la source de ces sédiments noirs.
Apprenez-en davantage sur cette recherche dans un article de blog qu’Esther a écrit pour BioVox (en anglais) :
https://biovox.eu/the-ecological-impact-of-offshore-wind-farms-and-sediment-dynamics/